• 27.2) Child in time

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    La musique montait telle qu’il en avait fixé la feuille de route.

     

    Sweet child in time, you'll see the line..;  Line that's drawn between good and bad...  See the blind man shooting at the world;;;  Bullets flying, mm taking toll..   If you've been bad - Lord I bet you have _ And you've not been hit oh by flying lead;;.  You'd better close your eyes, aahaao bow your head...; Wait for the ricochet ..

    .. Ooo-ooo-ooo-ooo..

    Ooo-ooo-ooo-ooo..

    Aaa-aaa-aaa.. Oh, I gotta hear you sing..

    Aaa-aaa-aaa.. ..

    Child in Time.

     

    L’hymne magique et ascensionnel du bon vieux Deep Purple. Des couches de son solide aux consonances liturgiques, comme une spirale en replis fragmentés, une suite toute contrôlée et puissante de bouffées d’ondes quand le niveau vibratoire est particulièrement favorable à un processus conscience-intrication. Le rock’n roll a produit d’innombrables symphonies en prise directe avec les lois de la gravitation. Il en existe bien d’autres que nous pouvons utiliser. Nothing else matters de Metallica, Stairway to Heaven, l’hymne parfait de Led Zep, Vénus in Furs du Velvet, Knockin on Heavens’doors de Dylan, bien sûr Atom Heart Mother d’un Floyd vénéré, Neil Young, Klaus Shulze, Oasis, Muse, les Doors et qui en douterait, des dizaines encore de quoi rédiger une page trop longue, la mémoire des choses opérant son tri comme elle l’entend selon l’humeur et la brillance d’une triste réalité frénétique. Toutes les civilisations à leur époque-apogée ont cherché des ponts inconscients avec les fréquences invisibles. Mais elles se heurtent, et fort heureusement, aux portes fermées des consciences individuelles, le monde des chiens vivants s’écroulerait prématurément, rien n’est prévu pour l’ouverture des cieux. Bach et Wagner sentaient aussi venir la métamorphose au travers de l’âme, ce fut le même ciel noir que Nietzsche visait en se lamentant. Mais l’époque souffrait alors d’un bric à brac technologique génial par nature et horriblement inhumain pour ceux qui devinaient l’au-delà. Aujourd’hui cela pourrait être tout le contraire si on ne fait pas gaffe. Les machines déjà soupçonnent des programmes subliminaux que les hommes ne comprendront plus. Ces derniers en grand nombre abdiquent ce qu’ils ont de meilleur en eux parce que les écrans fournissent sans effort des définitions complètes de leur âme légère, la plus simple, celle qui parvient à leur bouche quand ils croient définir leur vérité en 140 signes maximum. Ainsi ils veulent profiter d’un système qui a tout à gagner à l’ombre du ciel noir. Crevant plus tard sans même implorer le Noun.. salvateur, garant de l’éternel redémarrage transcendant, le chaos futur et nourricier. Cette mode est triviale, juste bon effectivement à finir en tweets sur des Ipads en cours d’obsolescence industrielle. ..

     

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