Or vin[rent], à l’int[érieur], des i[mages] et des re[ssemblances, et d]es an[ges], et des ar[chang]es, d[es die]ux ainsi que des di[vi]ni[tés]. E[t] 20 quand [t]ous ceux-là furent [venus à l’ê]t[re p]ar la Providence . [ . . . . ], . [ . . . . ] . . de Jésus, il [ . . . . . . . . ] . dans les semences . [ . . . . . . ] du Monogène [ . . . ] 25 [ . . ] Pour eux, ils sont d’un côté des spirituels et (d’autre part) des charnels, ceux qui sont au ciel et ceux qui sont sur la terre. Il leur fabriqua un lieu de la sorte [e]t 30 une école de la sorte, en v[u]e de la doctrine et en vue de la forme.

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James Carabac pense avoir défini les lignes majeures du scénario. Les anges noirs de Yaldabaoth sortent du monde des ténèbres pour se fondre dans les peuples et leurs élites. Les transparents émanés de la Sagesse céleste Sophia viennent renforcer les sceptiques et tous ceux qui affrontent les générations du premier archonte. Une idée surgit. Le Monde du Vide est d’essence bouddhiste. Il défend des intérêts ambigus liés à l’élaboration de la matière. Toutes les pensées du Monde Vide appellent le vide et la réalité des lois fondamentales. L’hindouisme, héritage des Premiers Venus et des demi-Dieux, reflète des visions anciennes. ..

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