• 31.2 ) Codex occidental

    Cent vingt volontés accompagnaient la volée énergétique s’engouffrant dans le tourbillon noir. Une senteur amère se disperse dans le Woodstock, un signe certain de la déchirure qui s’opère, la matière pleure alors son imperfection. Indéfinissable à l’échelle individuelle, l’amertume est probante lors des shows. Comme si les corps tenaient à manifester En public.. leur désapprobation de se voir ainsi dépossédés de la forme sanctifiée par toutes les religions conscientes. Le Nagual traduisait l’expérience directement sur la console DJ. La musique vecteur parfait codait les images et fréquences de l’Esprit en ondes et particules informatiques. Les sons se répandaient en boucles totales et pénétraient les consciences ouvertes aux messagers. C’étaient les forces matérielles et spirituelles de millions d’émetteurs de par le monde. Le Codex occidental architecturé par l’imagination technologique du présent de l’humanité. Des puissances calibrées sur le passé chronologique depuis l’ouverture du néant par la souillure, Pensée a rempli le miroir, il y eut deux états et un seul code.. l’abjection dramatique et l’Autre.. sans nom qui ont amorcé le bit.. le beat.. le premier calcul.. qui s’en venaient ouvrir comme des conserves les cerveaux des cent vingt-huit, le Nagual en était. La dimension artistique transportait l’infamie humaine dans le seul monde réel qui soit. C’était les millions de volts nucléaires et le chaos silencieux des masses d’ordinateurs en réseaux qui gèrent la formidable computation, la sorcellerie du présent moderne arrachée de la fange des sociétés que leurs milliards d’esclaves alimentent et font tourner par simple aveuglement. Les cent vingt-huit voyaient maintenant en un seul bloc la véritable structure de l’univers. Le grand ordinateur est quantique. ..

     

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