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Les cent-vingt du Woodstock ondulent et voient cette même vérité qui déborde leurs corps physiques. Le jeu maintenant est de prononcer les deux noms, chacun s’est écrit un pseudo, et le pseudo élégiaque venant enfin et pour de bon se substituer à l’état civil tyrannique. La vérité du sort de tous les mortels se doit alors d’être transmise à la conscience depuis le mensonge ancestral et c’est même la seule garantie d’un noble combat. Ils croient tous en un chemin possible. L’ouverture des consciences pouvant reposer sur cette plainte à condition d’être imprimée d’une Foi juste et impeccable.

Henneman reçoit l’énergie de son peuple. Et sait parfaitement où il se trouve. L’énergie file dans un pipe-line ouvert par son passage, que le nagual règle sur l’écran. C’est un tube de l’épaisseur d’un homme qui serpente vers l’Egypte mais le schéma est trompeur, il s’adresse au cerveau humain en 3D, celui-là même qui invente les machines à son image... Dans le monde des rêves l’énergie se reconstitue à partir de matière mentale de même nature que le message mythologique. L’imagination validée par des joueurs et reconnue par leurs créateurs qui eux-mêmes tirent leur forme du rêve des hommes. Une boucle..le cycle sans fin des temps..